Aujourd’hui dans le monde
occidental, ont trouve que la question n’est pas simplement « Est-ce que
Dieu existe » ? Mais plutôt « est-ce qu’on a vraiment le droit
ou le besoin de parler de Dieu » ?
Selon les chercheurs scientifiques, c’est sous-entendu qu’on ne cherche
pas pourquoi ou pour qui le monde a été fait, mais par quels processus. Selon
les pensées du média, on a simplement besoin de regarder aux souffrances et
violences pour affirmer qu’il y a ni Dieu, ni raison d’être dans le monde, et
même dans l’univers entier. Elie Wiesel,
une victime de l’Holocauste qui avait a peine survécu cette horreur, avait dit
que
« Dieu est mort au bout de la corde d’un bourreau
à Auschwitz ».
Comment répondre à telles
affirmations, telles tragédies, telles expériences, particulièrement quand nous
n’avions pas vécu telles choses ? Je
pense que, pour le chrétien, l’essential c’est de se souvenir que Dieu nous a
dit que c’est une génération perverse qui demande toujours un signe, dans cette
cas, l’exigence d’une justice immédiate.
Mais Jésus dit que :
« Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le
monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par
lui. »
Il va plus loin et dit qu’aucun
signe serai donné sauf le signe de Jonas : l’homme mort ressuscité. C’est évident que Jésus et l’exemplaire le
plus étonnant de cette idée. On peut
penser à d’autres, comme Lazare, ou le fils de la veuve de Naïn, ou Eutychus,
qui avait sommeil juste à la mort.
Alors, une question.
Est-ce qu’il y a seulement une type de mort ? Serions nous libéré seulement après être
mort ? Bien sûr, l’aveuglement, le
viol, le meurtre, l’oppression, l’injustice, la perdre d’un enfant, l’affliction,
l’esclavage, l’ignorance, le manque d’aide médicale, toutes ces choses sont des
types de la mort. Et maintenant, que
fait Dieu comme défense contre tout cela ?
Eh ben, il nous lit un morceau du livre d’Isaï:
« L'Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu'Il
m'a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres;
Il m'a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé,
pour proclamer aux captifs la délivrance, et aux aveugles le recouvrement de la
vue, pour renvoyer libres les opprimés, pour publier une année de grâce du
Seigneur (…) Aujourd'hui cette parole de l'Écriture, que vous venez d'entendre,
est accomplie. »
Comment, accompli ?! On voit toujours la souffrance et la mort,
même dans la vie de Jésus, lui-même !
Mais c’est vrai qu’on trouve que, si il y a plusieurs types de la mort,
il y a pourtant un type de la vie. La
vie offert part Jésus est une vie qui libérer, parfois dans le monde, parfois
ailleurs. Surtout, Jean nous dit que
« Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les
œuvres du diable ».
Je pense que c’est là qu’on
enfin trouve la bonne réponse. Bien sûr,
un jour il y aura une grande libération de l’univers. Mais avant ce bouleversant événement,
« la création tout entière soupire et souffre les douleurs de
l'enfantement. »
Dietrich Bonhoeffer, qui n’a
pas survécu la Deuxième Guerre Mondiale, aborde ce problème en disant :
« Le Dieu qui est avec nous est celui qui nous
abandonne! Le Dieu qui nous laisse vivre dans le monde, sans l’hypothèse de
travail Dieu, est celui devant qui nous nous tenons constamment. Devant Dieu et
avec Dieu, nous vivons sans Dieu. Dieu se laisse déloger du monde et clouer sur
la croix. Dieu est impuissant et faible dans le monde, et ainsi seulement il
est avec nous et nous aide [...] Voilà la différence décisive d’avec toutes les
autres religions. La religiosité de l’homme le renvoie dans sa misère à la
puissance de Dieu dans le monde, Dieu est le deus ex machina. La Bible le
renvoie à la souffrance et à la faiblesse de Dieu; … L’évolution du monde vers
l’âge adulte dont nous avons parlé, faisant table rase d’une fausse image de
Dieu, libère le regard de l’homme pour le diriger vers le Dieu de la Bible qui
accomplit sa puissance et sa place dans le monde par son impuissance.».
Le problème, c’est toujours
le même dont Jésus avait parlé au Pharisiens : ce n’est pas que l’évidence
de Dieu manque, c’est que la foi nous manque.
Mais peut-être ils restent toujours des hommes, des femmes, des enfants
qui sont prêtes à croire, mais qui attendent simplement la bonne nouvelle. Peut-être que quand Jésus avait parlé du
signe de Jonas, ce n’était pas seulement une chastement contre les Pharisiens,
c’était la promesse que nous aurions toujours le signe de la vie
ressuscitée. C’est pour cette raison,
que j’aime travailler avec les témoignages, parce que chacun représente ce
promis réalisé.
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